19ème mesage
Un message laissé dans les commentaires du précédent message, et sa réponse :
Posté par rosalinda :
Salariée de camponovo, je voulais dire que si nous soutenons nos 2 collègues libraires, une majorité de l'équipe ne soutient pas du tout la directrice du magasin, qui à notre avis est en grande partie responsable des évènements. Nous avions de gros problèmes relationnels avec elle, et je ne comprends pas l'amalgame qui a été fait entre elle et nos 2 collègues. Je voulais que ce soit dit parce qu'à la librairie, nous séparons bien les 2 affaires.
Posté par June :
Bonjour,
Je suis un ancien salarié et fait partie des "licenciés" récents de Camponovo ; j'adorerais connaître les raisons qui permettent de penser que la directrice du magasin est "en grande partie" responsable des évènements ? Je suis consterné par ce commentaire que je viens de lire.
D'abord, il faudrait définir le terme "évènements" : s'il s'agit là d'une manière de parler des licenciements, alors qu'on m'explique vite la part de responsabilité de Josiane Mazeau dans cette histoire, cela m'intéresse au plus haut point...
Ensuite, que viennent faire les "gros problèmes relationnels avec elle" dans cette suite d'actes disproportionnés (à mes yeux) ?
Nous sommes quelques uns à avoir eu des heurts, puis des réglements de compte, avec cette directrice ; à peu près comme avec chaque responsable avec qui il faut œuvrer, il me semble... Régler des comptes personnels via ce genre d'affaire, c'est un peu sinistre, non ?
Mettre sur le dos de Josiane Mazeau (qui n'est pas exempte de défauts à mes yeux, loin s'en faut, mais j'essaie de mon côté de faire la part des choses) "une grande partie de la responsabilité" de ces évènements, c'est se refuser à vouloir y voir clair, et à admettre la vérité : il n'y a que le capitaine du gros navire Campo qui sait où celui-ci navigue. Et il n'y a que le capitaine pour donner des coups de barre à sa manière, tout le monde le sait. Arrêtez de vous voiler la face et de contourner le problème... On peut probablement reprocher des choses à Josiane Mazeau, mais lui imputer la responsabilité du déroulement des choses, c'est faire le choix de la logique qui a mené la librairie à changer de directeur quasiment tous les ans... Le problème n'était, n'est pas Josiane Mazeau... Qui peut le croire !?